Références
[1] Parmi les ouvrages traitant de graffitis, on peut lire : Borwicz M., 1954, Écrits des condamnés à mort sous l’Occupation nazie (1939-1945), Paris, Gallimard, 1996 ; Bucherie L., 1999, Murmures de la Tour, Les Graffiti de la Tour de Crest, Grâne, Créaphis ; criminocorpus. URL : https://criminocorpus.org/fr/expositions/art-et-justice/murs-rebelles/ ; Curdy M., 2012, « L’étude préalable et la conservation – restauration des graffitis des internés au camp de Drancy », CeROArt [En ligne], 2. URL : http://ceroart.revues.org/2598 ; Vimont J.-Cl., 1998, « Les graffiti de la colonie pénitentiaire des Douaires », Histoire et archives, 2, p. 139-155 ; Vimont J.-Cl., 2008, « Graffiti en péril ? », Sociétés & Représentations, n° 1, p. 193-202.
[2] Fraenkel B., 2007, « Actes d’écriture : quand écrire c’est faire », Langage et société, 3, n°121-122, p. 101-112.
[3] Guinchard C., 2014, Inscrire son nom à Rome (XVIe-XIXe siècle), Paris, Éd. Le Seuil ; Heinich N., Shapiro R., dirs, 2012, De l’artification. Enquêtes sur le passage à l’art, Paris, Éd. École de hautes études en sciences sociales ; Ziebinska-Lewandowska K., 2016, Brassaï – Graffiti. Le langage du mur, Paris, Éd. du Centre Pompidou/Ed. X. Barral.
[4] Danysz M., 2015, Anthologie du Street art, Paris, Éd. Alternatives ; Lemoine S., 2012, L’Art urbain : du graffiti au Street art, Paris, Gallimard ; Lemoine S., 2015, Les Murs révoltés: Quand le Street art parle social et politique, Paris, Éd. Alternatives.